lundi 29 février 2016

Bonne soirée à vous tous ...










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Berndnaut Smilde






"Nimbus"
Je vous ai mis son site qui est très intéressant
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Sebastiano del Piombo

"Anton Francesco degli Abizzi"   1525
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Kazimierz Pochwalski

"Portrait du comte Tarnowski" 1898
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Henry Oliver Walker

"Proteus"
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Gerald Brockhurst

"Geraldine"
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Kebichi Hoshine

 "Figure  #24"
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Alexis-Joseph Mazerolle

"Etude pour l'Esclave mourant"   1826-1889
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Jos Albert

"Nature morte aux fruits et chaudron en cuivre"
Je vous ai mis un lie,

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John Stuart Ingle

"Nature morte avec des biscuits"  1933
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Jónsi & Alex








Coup de cœur !
Jónsi & Alex - Daníell in the sea
Musique: https://vimeo.com/5580355
Jónsi & Alex - All the big trees
Musique: https://vimeo.com/5579674
Jónsi & Alex - Boy 1904 (432 Hz)
Musique; https://youtu.be/y6mZY0GtKhw

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Christopher Thompson

"Peintures"
Je vous ai mis son site



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Et hop !










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Marlene Dumas

"Portrait" 2014
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Rembrandt

"La jeune fille de Varsovie" 1641 huile sur toile, 105.5×76 cm Varsovie, Pologne, Château Royal
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Normand Rajotte - Comme un murmure/Like a whisper - Édition/ Kehrer Verlag Heidelberg Berlin

"Comme un murmure" (Like a whisper) Depuis plusieurs années, le photographe montréalais Normand Rajotte explore un territoire de quelques kilomètres carrés situé au pied du mont Mégantic, près de La Patrie, un village du sud-est du Québec, au Canada. Réalisée entre 2004 et 2010, la série "Comme un murmure" rend compte de la relation intime que l’artiste a nouée au fil du temps avec ce territoire forestier. Petit à petit, image après image, Rajotte s’est enraciné dans ces quelques hectares de bois au point de s’y fondre. Contemplant l’avancée de la végétation ou les traces révélant l’activité animale, il photographie la métamorphose incessante de "sa" forêt. "Comme un murmure" témoigne du sentiment puissant qui unit l’homme et l’animal, lorsque le premier rejoint le second en s’immergeant au plus près de la nature. C’est au début des années 80, après une pratique documentaire, qu’il adoptera une démarche plus introspective axée sur la conscience de soi et un rapport renouvelé à la nature. Dans une approche qui laisse toute la place à l’intuition il élabore patiemment une vision intimiste du territoire. Regarder ses images, c’est refaire avec lui un parcours méditatif, pénétrer la substance même du paysage, s’initier à son étrangeté.
Je vous ai mis son site
Pour celui des éditions, c'est ici: http://www.kehrerverlag.com/html/de/aktueller_verlagstip.html


























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Eleanor Macnair

"Photographs Rendered in Play-Doh" (Photos reproduites en pâte à modeler) a débuté sur un coup de tête en août 2013, après un quiz photo organisé dans un pub par les artistes de MacDonaldStrand à Brighton. L’une des épreuves consistait à reproduire des photos célèbres en pâte à modeler. On dit qu’il suffit d’avoir une bonne idée dans sa vie. Je ne l’avais pas encore eue, alors, dans un esprit post-moderne de réappropriation, j’ai pris la leur. J’ai des outils d’amateur. De la pâte à modeler, une planche à découper, un scalpel et une bouteille de vin vide en guise de rouleau. C’est un travail facile à faire, accessible et peu cher. Je vise un public large : l’ensemble de mon projet atteste de la démocratie du web. Même si je suis largement suivie par les photographes professionnels et les conservateurs, des milliers de gens visitent mon blog depuis le monde entier, qui ne sont pas en lien avec le monde de la photo et viennent de lieux aussi éloignés que le Congo, la Mongolie, la Bolivie, le Kazakhstan et l’Islande. J’ai quelques  règles, dont les principales sont de ne pas montrer d’images pornographiques ou de personnes mortes ce sont des thèmes qui ne se prêtent pas à la représentation en pâte à modeler. Je n’aime pas non plus reproduire des photos à la demande de leurs auteurs.  J’œuvre depuis dix ans à promouvoir l’art et la photographie, mais je promeus toujours les idées des autres – conservateurs, galeries, musées, éditeurs. Avec mon blog, je peux décider de ce que je montre aux gens, mettre en lumière les œuvres peu connues de photographes négligés ou des projets contemporains que j’estime valoir la peine. C’est très libérateur, car je n’ai pas à justifier mes choix. Je me contente de les représenter en pâte à modeler, en lien avec l’image originale, rien d’autre.  Dans mon travail quotidien, j’ai souvent l’impression de m’éloigner de l’art, d’être dévorée par la pression des délais, des égos, des idéaux politiques. Je me demande régulièrement pourquoi j’ai voulu travailler dans ce milieu. Ce projet me ramène à une vision non polluée de la photographie. Nous voyons tous des centaines d’images par jour, sur nos téléphones, nos ordinateurs, les panneaux d’affichage et dans les journaux ; mais nous ne les regardons pas vraiment. Nous parcourons les informations contenues dans l’image, nous prenons ce dont nous avons besoin, et nous passons à autre chose. J’aimerais que ce projet encourage les spectateurs à ralentir, à se replonger dans des œuvres qu’ils connaissent bien et à découvrir celles qu’ils ne connaissent pas. Je suis la première à reconnaître que les premières images de ce projet ne sont pas très bonnes. Je ne suis pas une artiste. J’ai cessé d’étudier l’art à l’école à l’âge de 14 ans. Il me faut environ deux heures pour chaque recréation de photo. Je regarde la photo originale, j’étudie la composition et l’éclairage, je décide quels détails je mettrai en lumière et quels détails je laisserai de côté. C’est une opportunité de ralentir, de regarder et d’observer vraiment l’image. En surface, les photos peuvent condenser des idées complexes, et les présenter avec un langage visuel simple et direct. Je pousse ces idées encore plus loin, pour les réduire à presque rien, simplement des formes et des couleurs. Une fois que j’ai terminé, je prends une photo et je défais immédiatement ce que j’ai fait. Je range la pâte à modeler par couleurs, pour la réutiliser ensuite. La robe verte de la photo de Nan Goldin est devenue la combinaison de celle d’Alec Soth, le feuillage de celle de Tom Hunter et la couverture de celle d’Henri Cartie-Bresson. Les œuvres n’existent plus, elles deviennent éphémères, et je suis souvent la seule à les avoir vues en trois dimensions. J’aime l’idée d’un téléphone arabe au fil du temps : le sujet original de la photo, le tirage du photographe, un fichier numérique sur internet, une reproduction en pâte à modeler sur ma table de travail, le fichier numérique de ma photo sur internet, et maintenant les œuvres sur les murs d’une galerie. Qu’est-ce qui s’est perdu entre temps ? Qu’est-ce qui reste ? Je n’ai jamais dit que tout cela était sérieux. Mes créations sont ce qu’elles sont. Des photos reproduites en pâte à modeler.
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