samedi 30 avril 2022

Emmanuel Chaussade - Dire - Mercure de France

 











Saying hurts but does not kill. 

Words can break a child, ravage a teenager, devastate a man.  

Say the words head on to give meaning to your life.  

He frees his spirit from his hatred and violence.  

Saying your pain to make your heart beat faster.  

Words have the power to enlighten, to heal, to save.  

Saying frees from everything.  

May 5, 2022

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Emmanuel Chaussade - Dire - Mercure de France

 











Dire blesse mais ne tue pas.

Les mots peuvent briser un enfant, ravager un adolescent, dévaster un homme.

Dire les mots à bras le corps pour donner du sens à sa vie.

Il délivre son esprit de sa haine et de sa violence.

Dire ses maux pour faire palpiter son cœur.

Les mots ont le pouvoir d’éclairer, de guérir, de sauver.

Dire libère de tout.

 5 mai 2022

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Emmanuel Chaussade

 Emmanuel Chaussade par Francesca Mantovani



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Emmanuel Chaussade - Dire - Mercure de France

 

Dire blesse mais ne tue pas.

Les mots peuvent briser un enfant, ravager un adolescent, dévaster un homme.

Dire les mots à bras le corps pour donner du sens à sa vie.

Il délivre son esprit de sa haine et de sa violence.

Dire ses maux pour faire palpiter son cœur.

Les mots ont le pouvoir d’éclairer, de guérir, de sauver.

Dire libère de tout.


 

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dimanche 25 octobre 2020

Emmanuel Chaussade - Elle, la mère - Les Éditions de Minuit

Elle, petite fille aux origines modestes. Envie de vivre plus forte que la mort.

Elle, adolescente aux rêves de prince charmant. Bal des illusions perdues.

Elle, femme libre, jalousée, traquée. Sacrifiée pour enterrer le passé.

Il revient au fils de découvrir les secrets de famille. Histoires de haine et d’amour.

Elle, la mère. 

Parution le 7 janvier 2021 aux Éditions de Minuit
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jeudi 24 septembre 2020

Lettre ouverte à nos concitoyens : Ensemble, défendons la liberté








Il n’est jamais arrivé que des médias, qui défendent souvent des points de vue divergents et dont le manifeste n’est pas la forme usuelle d’expression, décident ensemble de s’adresser à leurs publics et à leurs concitoyens d’une manière aussi solennelle.

Si nous le faisons, c’est parce qu’il nous a paru crucial de vous alerter au sujet d’une des valeurs les plus fondamentales de notre démocratie : votre liberté d’expression.

Aujourd’hui, en 2020, certains d’entre vous sont menacés de mort sur les réseaux sociaux quand ils exposent des opinions singulières. Des médias sont ouvertement désignés comme cibles par des organisations terroristes internationales. Des États exercent des pressions sur des journalistes français « coupables » d’avoir publié des articles critiques.

La violence des mots s’est peu à peu transformée en violence physique.

Ces cinq dernières années, des femmes et des hommes de notre pays ont été assassinés par des fanatiques, en raison de leurs origines ou de leurs opinions. Des journalistes et des dessinateurs ont été exécutés pour qu’ils cessent à tout jamais d’écrire et de dessiner librement.

« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi », proclame l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, intégrée à notre Constitution. Cet article est immédiatement complété par le suivant : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »

Pourtant, c’est tout l’édifice juridique élaboré pendant plus de deux siècles pour protéger votre liberté d’expression qui est attaqué, comme jamais depuis soixante-quinze ans. Et cette fois par des idéologies totalitaires nouvelles, prétendant parfois s’inspirer de textes religieux.

Bien sûr, nous attendons des pouvoirs publics qu’ils déploient les moyens policiers nécessaires pour assurer la défense de ces libertés et qu’ils condamnent fermement les États qui violent les traités garants de vos droits. Mais nous redoutons que la crainte légitime de la mort n’étende son emprise et n’étouffe inexorablement les derniers esprits libres.

Que restera-t-il alors de ce dont les rédacteurs de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 avaient rêvé ? Ces libertés nous sont tellement naturelles qu’il nous arrive d’oublier le privilège et le confort qu’elles constituent pour chacun d’entre nous. Elles sont comme l’air que l’on respire, et cet air se raréfie. Pour être dignes de nos ancêtres qui les ont arrachées et de ce qu’ils nous ont transmis, nous devons prendre la résolution de ne plus rien céder à ces idéologies mortifères.

Les lois de notre pays offrent à chacun d’entre vous un cadre qui vous autorise à parler, écrire et dessiner comme dans peu d’autres endroits dans le monde. Il n’appartient qu’à vous de vous en emparer. Oui, vous avez le droit d’exprimer vos opinions et de critiquer celles des autres, qu’elles soient politiques, philosophiques ou religieuses, pourvu que cela reste dans les limites fixées par la loi. Rappelons ici, en solidarité avec Charlie Hebdo, qui a payé sa liberté du sang de ses collaborateurs, qu’en France le délit de blasphème n’existe pas. Certains d’entre nous sont croyants et peuvent naturellement être choqués par le blasphème. Pour autant, ils s’associent sans réserve à notre démarche. Parce qu’en défendant la liberté de blasphémer, ce n’est pas le blasphème que nous défendons mais la liberté.

Nous avons besoin de vous. De votre mobilisation. Du rempart de vos consciences. Il faut que les ennemis de la liberté comprennent que nous sommes tous ensemble leurs adversaires résolus, quelles que soient par ailleurs nos différences d’opinions ou de croyances. Citoyens, élus locaux, responsables politiques, journalistes, militants de tous les partis et de toutes les associations, plus que jamais dans cette époque incertaine, nous devons réunir nos forces pour chasser la peur et faire triompher notre amour indestructible de la Liberté.

#DéfendonsLaLiberté 

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samedi 19 septembre 2020

Ruth Bader Ginsburg

 15 mars 1933 - 18 septembre 2020

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jeudi 17 septembre 2020

A bientôt ....

 Blogger ayant changé son interface, tellement compliquée à utiliser dans sa nouvelle formule, que je ne sais pas si je vais continuer ce blog. 

Prenez soin de vous. 



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Paul Schulenburg

 "Working at the Pier"

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Robert Dukes

 "Oranges" 2014

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Euan Uglow

 "Nude with White Towel" 1964

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Nancy Seamons Crookston

"Grinding with the Cranes"
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Et hop !











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Arthur Rackham

"Sans titre" 1897
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Gil Rigoulet

"Lonely trees"  J’ai réalisé ces images avec un film Polaroid n&b qui n’existe plus, le 665, film positif à négatif récupérable. Ces photos ont été faites en France en L'arbre règne dans un monde qui nous dépasse, son échelle du temps et ses dimensions ne sont pas les nôtres, il est hors de portée des limites de la vie humaine.  Comme tout ce qui nous dépasse débouche, un jour, sur du respect ou de la crainte, ces arbres vénérables, suivant une très antique tradition, sont le support de croyances et de manifestations rituelles. Chargés de mystères et crédités d'une force, tantôt menaçante, tantôt protectrice, l'arbre se retrouve au centre d'un réseau enchevêtré de mythes et de légendes, de croyances et de coutumes. Millénaire ou pluri-centenaires, ces arbres ont suscités des croyances et leur forme, un imaginaire.
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