+ Je n'en saurai jamais assez. Jamais assez pour être parfaitement heureuse, jamais assez pour avoir une passion abstraite qui me nourrisse d’une manière définitive, jamais assez pour “rien”. Mais ces moments de bonheur, d’adhésion à la vie, si on se les rappelle bien, finissent par faire une sorte de couverture, de patchwork réconfortant qu’on pose sur le corps nu, efflanqué, tremblotant de notre solitude.
Françoise Sagan
Des bleus à l’âme
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