mardi 31 mars 2009
Shadi Ghadirian
Etre photographe en Iran exige du doigté. Pas question d’aborder les problèmes de la société iranienne en ignorant la multitude d’interdits édictés par les Mollahs depuis la révolution islamique de 1979. Toute allusion, aussi légère soit-elle, à la sexualité est jugée comme un crime relevant du droit commun. Pour Shadi Ghadirian, rien n’est plus stimulant que les contraintes. La jeune femme se livre à une critique en règle de la condition féminine dans son pays avec l’arme redoutée par tous les régimes autoritaires : l’humour.
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il y a une recrudescence du voile au sud de la méditerranée.elles se voilent la face ,au propre et au figuré.elles se cachent derrière comme un paravent de respectabilité pour faire leurs 400 coups...elles font de l'ombre au soleil et feraient mieux de rester chez elles cirer les pompes de leurs maitres à penser.
RépondreSupprimerces bigotes qui peuvent être très aguicheuses et que j'imagine à un streap poker,
" BIG HOT HALAL PARTY"
yasmina